Maersk répond aux accusations de transport d’armes

La société internationale de transport maritime Maersk a vivement rejeté les accusations la liant à des livraisons d’équipements militaires dans des régions en guerre. Dans un communiqué officiel, le groupe a qualifié ces allégations de « infondées et mal intentionnées ».

Ces déclarations font suite à des rumeurs accusant Maersk d’avoir acheminé des pièces détachées pour des avions de chasse américains à destination d’Israël, alors que le conflit à Gaza se poursuit. L’entreprise a tenu à rappeler que ses activités respectent scrupuleusement les standards internationaux, notamment le Pacte mondial des Nations Unies et les directives de l’organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

Maersk assure appliquer une politique stricte interdisant le transport d’armes ou de munitions vers des zones de tension active. Elle affirme se conformer au droit international et éviter toute implication, même indirecte, dans des conflits. Ses opérations au Moyen-Orient, notamment, seraient soumises à des vérifications renforcées.

Le groupe a également clarifié que les cargaisons incriminées ne concernaient pas l’armée israélienne, mais des composants destinés à d’autres pays partenaires du programme F-35. Toutes ses expéditions feraient l’objet d’audits rigoureux pour garantir leur légalité.

Maersk a exprimé sa « préoccupation » face à l’aggravation des crises humanitaires et réaffirmé son attachement à la paix. Elle a dénoncé certaines informations médiatiques, jugées « basées sur des interprétations erronées ».

Réaffirmant sa neutralité, Maersk se dit déterminée à poursuivre ses engagements en faveur des droits humains et d’une logistique responsable, même dans des contextes géopolitiques sensibles.

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